Déclaration d'Amour

Je reparcours tes lignes mais je m'attarde peut être déjà à un passé... Des mots teintés de chaleur, d'énergie et de passion se dessinaient un peu plus chaque jour... Suis je nostalgique de ce temps où on se plaisait à rêver de nous deux ? Ou est ce une réalité qui nous rattrape ? Je me remémore nos moments mais ne sont ils pas que de simples apartés ? Juste des instants de vies partagés à deux comme des rayons de soleil pendant l'orage ? L'orage est éphémère comme le mirage comme le coup de foudre... Ce qui demeure c'est cet amour qui lie nos vies... alors dans ces jours étrangement si sombres j'aimerai te le rappeler... Souviens toi, n'oublie pas, ne m'oublies pas... Souviens de cet homme qui sur ce quai de gare a découvert la lumière de ton regard... N'oublies pas ses bras qui ont serrer tendrement ta taille... Ne m'oublies pas...

Sais-tu ce que j'aime le plus en ce monde ? C'est toi. Toi qui depuis ce premier baiser échangé a transformé ma vie en un soleil ! Être auprès de toi à cet instant pour te câliner dans mes bras, j'en rêve : Être le zéphyr qui plane sur ta vie comme un ange protecteur invisible, comme un vent frais et parfumé, jouer de ta chevelure, effleurer tes épaules, m'enivrer de ton souffle et de cet air que tu respires, puis me poser amoureusement sur tes lèvres de miel : Tu me manques terriblement !
Des mots de Maxalexis ; Tu me manques terriblement (2014)

Je ressens ce qui nous sépare au delà de la distance, comme une frontière invisible entre ta raison et mon coeur... Cet amour gorgé d'espoirs se referme-t-il lentement comme ces fleurs qui se fanent ? Alors je prie les anges pour qu'ils passent dans l'ivresse de nos vies afin de donner du sens à cet attachement très fort et à la tendresse qu'il existe entre toi et moi... Je prie simplement les anges pour que tu entendes mon coeur te dire timidement :

Au début tu n'étais que la fille de ma chef, puis nous sommes devenus amis. Et puis je suis tombé amoureux de toi. Malheureusement ce n'est pas réciproque. Mais je t'aime tellement, je suis fou de toi. Quand tu es là je ne vois que toi et quand tu n'es pas là je ne pense qu'à toi. Tu m'as dit un jour que tu ne valais pas la peine qu'on se batte pour toi, c'est totalement faux ; je me battrais 1000 fois pour toi s'il le fallait. Chaque fois que je te vois je ne veux qu'une chose : prendre ta main dans la mienne, te regarder droit dans les yeux, sourire et t'embrasser. D'ailleurs je regretterais éternellement ce fameux jour où je n'ai pas osé le faire quand nous étions au cinéma. Tu sais beaucoup de nos amis pensent que nous sommes ensemble et m'ont déjà posé la question ou me taquine dessus. Je ne dis rien mais en silence ça me fait terriblement souffrir. Je pense souvent à ce que "nous" pourrait donner. Mais ça n'arrivera jamais n'est-ce pas ? Il n'y aura pas de "Toi et Moi". Une partie de moi le sait mais une autre partie refuse de l'admettre. A ce jour je ne sais toujours pas si je dois attendre que tes sentiments évoluent ou laisser tomber et essayer de profiter uniquement de ton amitié. Je crois que dans un premier temps je vais prendre mes distances. J'espère que tu le comprendras et ne m'en voudras pas trop .

Bientôt, cœur chéri, plus d'obstacles ! Nous serons libres d'être l'un à l'autre, chaque jour, à chaque heure, à chaque moment, toujours ! Nous pourrons rester, pendant toutes les journées de notre vie, heureux comme nous le sommes furtivement en de rares instants ! Nos sentiments si purs, si profonds, prendront les formes délicieuses des mille caresses que j'ai rêvées. Ton petit pied se déchaussera pour moi ! Tu seras toute à moi ! Aucun sentiment humain ne troublera plus notre amour. Je pourrai regarder au fond de tes yeux pour deviner la chère âme qui s'y cache et s'y révèle tour à tour, pour y épier tes désirs ! Je t'aime de tous les amours.

Des mots de Honoré de Balzac ; Louis Lambert (1832)

C'est bête à dire mais tu me manques. Je ne peux pas m'empêcher de penser à ces deux mois sans Toi. Je ne sais pas comment je vais tenir et cela me fait incroyablement peur. C'est le fait de ne plus te voir qui m'ennuie le plus parce que malgré tout, je me suis habituée comme je le pouvais à ton silence. Je n'ai jamais cessé de t'aimer, même si tes mots peuvent être incroyablement blessants parfois. Je t'ai dans la peau même si ton côté mur m'exaspère et me fait souffrir. Tu peux me faire tout ce que tu veux puisque je te suis entièrement soumise. Je t'appartiens. Je t'aime, ne l'oublie jamais. Celle qui t'aime sans respirer.



Mon paradis sur terre serait de vivre avec toi ; cent ans ne sont pas assez, il nous faut l'éternité. Être ensemble, le matin, le soir, à toute heure ; t'enlacer, te chérir, te protéger, t'aimer, c'est pour ces années à venir mon unique projet. Vivre avec toi, toi, mon trésor, mon bonheur, mon tout... mon amour.
Des mots de Maxalexis ; Des mots d'amour rien que pour toi (2014)

]e t'aime est un mot court

Que beaucoup de gens ont prononcé sans amour

]'ímerais pour toí en lnventer un nouveau

Pour te prouver combízn je t'alme trop

Je pourrals te dire que tu es |'homme de ma vie

Mais ça aussi on l'a souvent dít

Que de toi íe ne peux me passer

C'est vrai mais a été souvent répété

]'ai longtemps cherché c qui pourrait remplacé

Ces doux mots exprimés

Mais comme je n'aí rien trouvé

je vais simplement te répéter

Que mon covur est rempli d'amour pour toi

Tu es ma joie, mon trésor, ma vie

ll y a pleins d'autres mots sur la terre

Pour t dire á quel point j t'aime 

Mais ils n'exprjment jamais vraiment

Ce que je ressens pour toj

Ange aimé, quelle douce soirée que celle d'hier ! Que de richesse dans ton cher cœur ! Ton amour est donc inépuisable, tout comme le mien ! Chaque mot m'a apporté de nouvelles joies, et chacun de tes regards en étendait la profondeur. L'expression calme de ta physionomie donnait un horizon sans bornes à nos pensées ! Oui, tout était alors infini comme le ciel, et doux comme son azur. La délicatesse de tes traits adorés se reproduisait, je ne sais par quelle magie, dans tes jolis mouvements. Je savais que tu étais tout amour, mais j'ignorais encore combien tu étais si gracieuse. Tes mots vibrent toujours dans mon oreille, ils s'y roulent et s'y jouent encore. Ange du ciel, je t'envoie un doux baiser.
Des mots de Honoré de Balzac ; Louis Lambert (1832)